Espace VIP Vivendi à La Roche

[Mandochris]

Cet endroit est réservé à 4 publics :
1) Les musiciens qui jouent au festival de l'année en cours avec leurs invités. Le fait d'avoir joué dans le passé n'y donne pas droit.
2) Des acteurs de la scène Bluegrass européen (voir américain) - sur demande/invitation.
3) La Presse. Accréditation à demander via le site web. On demande en retour un accès aux articles, photos, sites réalisés.
4) Les partenaires et sponsors, avec leurs invités. Notre Club des Mécènes, lancé il y a 5 ans pour permettre aux commerces et aux petites entreprises rochois de s'associer au festival, connaît un franc succès. C'est cette catégorie qui fait augmenter l'affluence les soirs de vendredi et samedi.

Ceci est en réponse à un article publié dans le Bluegrass Times (numéro très bein fait d'ailleurs) sur l'espace VIP Vivendi, sans avoir pris aucun renseignement auprès de l'organisation du festival sur la gestion de l'espace.

[ilipus]

Surpris et rendu curieux par ce message de Chris, je viens d'aller jeter un œil au journal en question.
J'ai vu l'article, et puisque nous y sommes cités (sans avoir été spécialement consultés), je me permets de finir de remettre les pendules à l'heure pour dissiper toute forme de malentendu éventuel.
De la façon dont les choses sont présentées, on a l'impression qu'on se pose ostensiblement "en opposition" ou "à part" de l'ensemble de ce qui se passe à la Roche.
Je pense que ce n'est pas écrit dans ce but mais j'ai quand même peur qu'au final, ce soit l'impression qui reste, alors qu'en fait, il n'en est rien, mais alors rien du tout, il n'a jamais existé aucune concurrence d'aucune sorte à aucun niveau. De la même façon, on n'a jamais attendu ni compté sur une espèce de "reconnaissance" suite à nos "interventions" depuis "des années". Pour ma part, j'ai toujours obtenu ce que j'attendais: qu'on me foute la paix, ni plus, ni moins, et je ne veux surtout pas que ça change! (et merci encore à Chris qui a toujours tenu compte de ce que je demandais, jusqu'à conserver l'anarchie sur le camping ha ha ha).
En ce qui me concerne, j'ai toujours fui les espaces fermés, ou les espaces à entrée filtrée, tout bêtement parce que je ne m'y sens pas à l'aise. Plus c'est ouvert et mieux je me porte. Je n'ai strictement rien contre les espaces réservés, et quand bien même j'y aurais mes entrées que je n'y mettrais pas les pieds. De la même façon, les espaces noirs de monde me stressent plus qu'autre chose, je n'y séjourne jamais longtemps. Je n'écris pas ces mots pour Chris, dont je sais parfaitement qu'il me connaît et qu'il comprend ma façon de penser et mon comportement. Je les écris pour mon copain que j'adore, auteur de l'article, et pour tous mes copains d'une façon générale, pour rappeler que quand on a la chance de vivre ces moments formidables chaque année, en relativement petit comité, les uns chez les autres sur le camping, moins on fait de publicité autour, mieux on se porte.
Longue vie au festival et vive La Roche!

[Mandochris]

Merci Philippe. Oui, je te connais assez bien et pas de souci.
Au lieu de répondre par téléphone (comme j'ai fait dans le passé), j'ai pensé utile de préciser tout ça pour tout le monde.
On aurait pu me poser ces questions lors de la séance Questions-Réponses que j'ai tenue à Vichy il y a deux ans. Je suis prêt à le refaire s'il y a d'autres questions de ce genre.

[François ROBERT]

Je me permets de préciser également pour éviter toute forme de malentendu que je ne suis pas responsable de cet article dont je ne suis pas l’auteur, même si c’est moi qui l’ai fait paraitre dans le journal. Il est précisé, en page 2 : « Les informations données par le journal n’engagent pas la responsabilité de FBMA et de sa rédaction … Les opinions exprimées dans The Bluegrass Times par les auteurs des articles ne sont pas nécessairement celles de FBMA ». The Bluegrass Times est un journal associatif : donc, je publie tous les articles reçus, avec pour règle de ne jamais censurer un article, tant qu’il ne soit ni injurieux, ni raciste.
Ici, l’article a été écrit par Christophe, un des piliers de la diffusion du bluegrass en France. Donc, mis en confiance par la provenance, il ne m’est pas venu à l’idée de mettre en cause le contenu que je n’ai lu qu’en diagonale, plus occupé par d’éventuelles fautes de français ou d’orthographe (A mon souvenir, il n’y en avait pas). Connaissant un peu Christophe, je crois qu’il n’a jamais voulu polémiquer ou porter de quelconques accusations contre le plus grand festival bluegrass français. Il aime trop ce festival pour lu nuire d'une quelconque manière ...

[ilipus]

Je confirme, il ne s'agit pas ici de "lâcher" Tof qui en fait des tonnes depuis toujours pour le bluegrass. Dans cet article, il a exprimé son ressenti, dont moi je sais qu'il n'a rien de revanchard, mais de la façon dont il a tourné le truc, j'ai l'impression qu'on aurait pu croire le contraire... et comme il fait un parallèle avec ce qui se passe sur le camping et qu'il nous cite (fort gentiment d'ailleurs), j'ai préféré prendre les devants parce qu'on ne veut pas être associé à un quelconque malentendu. J'ai déjà suffisamment de monde comme ça à m'avoir dans le collimateur à cause de ma grande gueule.

[Mandochris]

François, je sais que les articles sont personnels et ne reflètent pas les avis de la rédaction. C'est un atout du journal.
J'ai essayé de présenter une réponse de manière factuelle pour éviter la polémique aussi.
Quand l'article parle de "plusieurs personnes" ou "un tel", il est difficile de répondre de manière plus précise.

[Dominique FOSSE]

Personnellement, ce que je déplore c'est que nous ayons en France le plus grand événement bluegrass européen (merci Christopher) et que dans le journal de la FBMA il n'y ait pas un article digne de ce nom pour en faire le compte-rendu, ne serait-ce que pour fixer nos souvenirs pour plus tard (au moins pour ceux qui réchapperont d'un prochain cancer).

A la place on trouve un article polémiste dans l'esprit (bien que l'auteur s'en défende et malgré toute l'huile qu'a pu y mettre Ilipus pour faire passer le truc - il s'est bien vidé la burette), une interview d'un groupe hollandais récupérée par miracle parce que c'est Anne-Marie qui a fait la traductrice (merci à elle) et une page de photos que François a finalement dû se décider à mettre avec la légende "photos... qui valent mieux qu'un grand discours pour décrire les concerts" mais je sais qu'il ne le pense pas vraiment (et pourtant on sait combien il aime la photo). Il a vainement demandé qu'on lui fasse un article puisque lui-même ne peut malheureusement plus se déplacer, mais il n'y a eu personne pour répondre et c'est bien dommage. Et l'article n'aurait pas empêché les photos.

Sinon, le journal est très bien. J'ai particulièrement été intéressé par les interviews de Jean Lacote et Tristan de Sainte Foy (quel blaze, quand même) et celle de Old Domi m'a beaucoup amusé. J'ai aussi aimé la chronique de Something B par Alain.

[mandotof]

Hahaha, la vache, je me fais incendier grave. Etant donné que je suis concerné pas l'article que j'ai envoyé au journal, ben,je vous réponds tendrement.
Tout d'abord, je vais, un fois de plus, vous dire, oh! combien je trouve le festival de La Roche, génial et tous mes mots ne suffiraient pas à le dire.
D'ailleurs j'arrete pas de le dire à tous et l'écrire, d'en faire la pub etc ...
Christopher à répondu techniquement sur les autorisations d'entrée de l'espace VIP et c'est bien d'apprendre donc (ou de rappeler), que ce n'est pas le lieu de rencontre des stagiaires et potes de potes de tout poils et des passages de badges
Mon honnêteté est de vous dire ce que je ressens et ce que j'ai vu, c'est tout All Folks !
Y a pas de polémique, sauf pour ceux qui en trouvent partout et si ça plait pas à certains ... tant pis !

[Dominique FOSSE]

Tu ne te fais pas incendier, Tof. Tu as le droit d'écrire ce que tu as écrit. C'est juste dommage que ce soit la seule prose dans le dernier numéro de BLUEGRASS TIMES qui parle du festival. J'aurais aimé que ce soit un article parmi d'autres...

[mandotof]

D'abord ce n'est pas de mon fait qu'il n'y ai pas plus d'articles concernant la Roche, ou plus largement, les évènements passés. Saches que je le fais très régulièrement pour le journal depuis plus de 15 ans et que je n'ai jamais, vers toi ou un autre, critiquer ni sa "prose", comme tu l'écris, ni son style d'écriture.
D'ailleurs, si chacun faisait un petit mot d'humeur de temps à autre, Le journal et le forum n'en serait que plus vivant.
(C'est un peu toujours les mêmes, voire trop souvent certains (dont je fais peut-être parti ?)
Chacun à son style et sa personnalité et puis voila.
D'autres n'ont pas hésité à plusieurs reprises, à critiquer ce que j'ai pu écrire en public et je m'en fou comme de la première culotte du Roi Dagobert.
Blesser les gens, ou leur envoyer des petits "pics", c'est vraiment pas mon truc et je considère que les forums ne sont pas les lieus pour le faire.
Je trouve ainsi un peu blessant de ta part ces petits qualificatifs, mais je ne peux pas t'en vouloir, ni à toi ni à personne car, après tout, on a pas élever les cochons ensemble- hahaha.
J'ai pris la liberté de ce droit de réponse sur ce type de canal, cependant, il existe encore le téléphone quand on à des remarques à faire ou à dire au gens
Faire, c'est aussi s"exposer à être critiquer et j'ai toujours voulut etre plus acteur de ma vie que spectateur, alors ...

[Mandochris]

Je te rappelle Tof que, suite à une autre observation que tu as faite suite au festival l'an dernier (ici ou dans le journal et à quel sujet, je ne sais plus), je t'ai téléphoné pour en parler directement.

[mandotof]

Christopher, je te connais et te respecte énormément (mais cela tu le sais vraiment). Ce que j'ai écris n'est pas ciblé sur toi ou à quelqu'un d'autre dans votre superbe organisation, mais à des attitudes de personnes ne respectant pas forcement les règles établies.
Le badge "magique" autour du cou, etant le sésame d'entrée.
Au moins, mon article ne passe pas totalement aux oubliettes. D'autre part, j'ai toujours essayer de trouver des idées nouvelles pour le festival, de l'initiative du stage et incontournable désormais, du Square-Dance au déplacement de la scène dans sa configuration actuelle. Tout cela pour dire que tout ce qui concerne ce festival m'est important (vu que j'y suis venu à chaque fois comme beaucoup d'autres).
Ainsi, cette "exaspération" sur l'espace VIP de cette année que j'ai décris, n'a pas pour cible des attaques personnelles mais une constatation, un ressenti, difficile à vraiment expliquer mais qui m'a interpeler au point de vous le décrire : Ceux qui veulent jouer au coq vont s'y sentir bien, parader devant une foule qui passe, on pourrait se prendre pour quelqu'un de plus important que le quidam !
Il est vrai que souvent, les espaces VIP sont un peu retrait de la foule, pour échanger entre artistes, sponsors etc ... mais pas au vu et au su de tous.
Peut-être est-ce ce dernier point à retenir en définitive ? Bises

[isabelle]

A moi
concernant cet espace, et pour y avoir eu accès en tant que musicienne à chaque fois que nous avons joué sur le festival, je dois avoué que je le fréquente surtout pour aller chercher des bières, ce qui m'évite de faire trop la queue....................
C'est un espace TROP bruyant pour moi, chargé d'aficionados du lieu, qui se prennent en photo avec les stars du moment. Voilà une caricature de ce que j'ai pu voir et ressentir. En tout, pour ma part, je ne m'y retrouve pas du tout, mais je peux tout à fait comprendre que certains aiment passer leur temps dans ce lieu. L'idée "d'espace réservé " ne me convient pas. Mais cela, je le répète, ne regarde que moi, et je peux tout à fait comprendre que ce lieu de rendez-vous soit nécessaire dans l'organisation d'un festival.
Ce que je voudrais ajouter sur ce post, c'est la qualité des échanges sur ce festival de La Roche (encore Merci Christopher et ton équipe),
De ce fameux espace VIP, il y a ceux qui passent leur temps à l'intérieur, et ceux qui en sortent et viennent partager les moments de bœufs en ville et au camping. Les artistes qui ont à cœur de croiser et partager la musique de la rue. Et j'ai envie de dire merci à ceux-là, car ils pourraient aussi rester comme certains, dans cette sorte de cocon réservé.
Pour ma part, c'est comme ça que le festival vit, dans la rue, au camping, sur scène, sur site avec la foule. Je me suis toujours sentie accueillie dans ces endroits.